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Revue de presse
Re: Revue de presse
J’acquiesce, je plussoie et je fais
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
Le navire pro attend les passagers de la formation
Les passerelles déployées entre la formation et les pros permettent à certains jeunes de s'entraîner avec Michel Der Zakarian. Leur avenir est aussi conditionné à celui de l'équipe fanion.
La mise en bouche est destinée à éveiller les sens, titiller les papilles, aiguiser l'appétit.
Les Niané, Diony, Sangaré, Gandi, Touré et consorts sont régulièrement conviés aux séances de Michel Der Zakarian.
Une récompense autant qu'un test pour l'entraîneur nantais. Surtout pas une finalité. « On discute entre techniciens pour savoir qui mérite de monter. J'essaie de voir qui sont les meilleurs, je veux qu'ils soient pétillants, qu'ils aient envie de prendre la place des pros. À leur âge, tu dois être mort de faim, sinon, tu restes à la maison. »
Aujourd'hui, le coach du FCN serait même prêt à ouvrir davantage son vestiaire à la jeune garde, et sur la durée. Sauf que le candidat incontestable n'a pas encore frappé à la porte. « Je n'ai pas encore vu de jeune prêt à s'installer. Le milieu pro, ce n'est pas le monde des Bisounours. Il faut faire preuve de caractère, exister dans l'adversité... et avoir du talent aussi. Si un gamin de 17 ans est plus fort que ce que j'ai, il jouera. »
En championnat, pour des raisons conjoncturelles, Saad Trabelsi (contre Lens) et Loïs Diony (face à Niort) ont étrenné leur tunique pro cette saison.
Au gré des circonstances, Kofi Djidji, David Alcibiade et Alexandre Wroblewski sont aussi sortis du banc en Ligue 2.
« On a ciblé certains qu'on projette. On doit prendre des décisions les concernant et c'est bien que le staff des pros les voit » explique Samuel Fenillat, le patron du centre de formation.
La Jonelière fournit à doses plus ou moins régulières ou homéopathiques son cortège de pousses élevées au grain du centre de formation. Mais sur la feuille de match, seuls Adrien Trebel (10 titularisations) et Jordan Veretout (11 matches) peuvent revendiquer une place de choix au sein du onze de base.
Dans l'élite, les modèles sont identifiés. La proportion de gamins du cru au sein de l'équipe fanion est sans commune mesure à Lyon (Umtiti, Grenier, Gonalons, Lacazette...) ou Toulouse (Capoue, M'Bengué, Sissoko, Tabanou). Une méthode qui fonctionne ailleurs.
Un constat qui interpelle forcément et interroge sur la pertinence du projet de formation nantais et de sa mise en oeuvre par les techniciens.
« Lyon est aujourd'hui le club qui fonctionne le mieux en terme d'intégration des jeunes, de projection dans le temps. Il faut s'en inspirer » poursuit Samuel Fenillat, convaincu que les Carole, Nego, Vainqueur ou Ndy Assembé, issus de la Jonelière, ne feraient pas tâche dans le paysage jaune et vert aujourd'hui.
« Un Carole que tu perds, il faut trois ou quatre ans pour en retrouver. Au Barça, les gamins restent quatre, cinq, six ans ensemble... c'est aussi une question de temps. Aujourd'hui, on est pressés. »
L'argument est recevable. Mais sur les bords de l'Erdre, la priorité est identifiée. Elle a pour dénomination Ligue 1. « Qui dit obligation de monter dit aussi expérience. C'est plus facile d'intégrer des jeunes quand tu es 10e de Ligue 1. Aura-t-on les moyens de garder des Veretout ou autres si on reste en Ligue 2 ? Pas sûr... » Tout dépend du menu.
nantesmaville
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
Kita : « Nantes sera autonome financièrement en 2013 »
Le président du FC Nantes, 2e de Ligue 2, a accepté d’évoquer l’avenir du club aux sept titres de champion de France. Le patron du FCNA n’exclut pas une vente en 2013. Il pense même à son fils pour reprendre les commandes.
Lire la suite de l'article
ps: Bravo RMC, c'est huit et pas sept titres de champion de France!!!
Le président du FC Nantes, 2e de Ligue 2, a accepté d’évoquer l’avenir du club aux sept titres de champion de France. Le patron du FCNA n’exclut pas une vente en 2013. Il pense même à son fils pour reprendre les commandes.
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ps: Bravo RMC, c'est huit et pas sept titres de champion de France!!!
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the_snake - U17
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Re: Revue de presse
Landreau a quitté Lille selon l'equipe !!!
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GuyomeFCN - U17
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Re: Revue de presse
j'ai vu sa aussi sa fait bizarre
Landreau et Lille, c'est fini
Après un peu plus de trois saisons passées dans le Nord, Mickaël Landreau quitte le LOSC. La rupture du contrat se fait d'un commun accord et prend effet immédiatement.
Mickaël Landreau et le LOSC ont trouvé un accord, jeudi, pour rompre le contrat du gardien international français, qui courait jusqu'en 2014. Une initiative qui, selon nos informations, viendrait du joueur et auquel le club nordiste a répondu favorablement, ce qui lui permet d'économiser un gros salaire dans un contexte de rigueur financière.
Mais les racines de cette séparation sont plus profondes. Les relations entre Landreau et son entraîneur, Rudi Garcia, s'étaient dégradées au fil du temps. Il y a quelques mois, le joueur avait même quitté « le conseil des sages », un groupe de joueurs relais du coach dans le vestiaire. Avec les dirigeants, en particulier Frédéric Paquet, le directeur général adjoint, l'ambiance n'était pas meilleure. Le troisième gardien de l'équipe de France était également de plus en plus isolé avec ses coéquipiers lillois. Soumis aussi à la concurrence de Steeve Elana, titulaire, mercredi, en Ligue des champions, contre Valence CF (0-1), le joueur de 33 ans, qui avait participé au doublé Championnat-Coupe de France en 2011, a décidé de poursuivre sa carrière ailleurs qu'au LOSC.
lequipe.fr
Landreau et Lille, c'est fini
Après un peu plus de trois saisons passées dans le Nord, Mickaël Landreau quitte le LOSC. La rupture du contrat se fait d'un commun accord et prend effet immédiatement.
Mickaël Landreau et le LOSC ont trouvé un accord, jeudi, pour rompre le contrat du gardien international français, qui courait jusqu'en 2014. Une initiative qui, selon nos informations, viendrait du joueur et auquel le club nordiste a répondu favorablement, ce qui lui permet d'économiser un gros salaire dans un contexte de rigueur financière.
Mais les racines de cette séparation sont plus profondes. Les relations entre Landreau et son entraîneur, Rudi Garcia, s'étaient dégradées au fil du temps. Il y a quelques mois, le joueur avait même quitté « le conseil des sages », un groupe de joueurs relais du coach dans le vestiaire. Avec les dirigeants, en particulier Frédéric Paquet, le directeur général adjoint, l'ambiance n'était pas meilleure. Le troisième gardien de l'équipe de France était également de plus en plus isolé avec ses coéquipiers lillois. Soumis aussi à la concurrence de Steeve Elana, titulaire, mercredi, en Ligue des champions, contre Valence CF (0-1), le joueur de 33 ans, qui avait participé au doublé Championnat-Coupe de France en 2011, a décidé de poursuivre sa carrière ailleurs qu'au LOSC.
lequipe.fr
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Bettamale44 - U17
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Alors là, je reste sur les fesses de voir Landreau quitter le navire Lillois ainsi.
Bien que je n'ai jamais compris pourquoi Lille avait depuis 2 ans des gardiens de qualité en doublure :
Eneyama l'année passée et Elana cette année, je pensais que Micka allait tenir la baraque sans sourciller.
Quelle va être la nouvelle destination de Landreau ?
Je ne pense pas que ce soit en France...
Concernant la potentielle vente du FC Nantes de Kita père à Kita fils, ça serait le pompon....
Bien que je n'ai jamais compris pourquoi Lille avait depuis 2 ans des gardiens de qualité en doublure :
Eneyama l'année passée et Elana cette année, je pensais que Micka allait tenir la baraque sans sourciller.
Quelle va être la nouvelle destination de Landreau ?
Je ne pense pas que ce soit en France...
Concernant la potentielle vente du FC Nantes de Kita père à Kita fils, ça serait le pompon....
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
Pour Landreau, oui ça fait bizarre. En tout cas, j'aimerais bien qu'il vienne à Nantes pour être entraîneur des gardiens tout d'abord, ensuite il passe ses diplômes d'entraîneurs professionnels et prend la place de MDZ dans quelques saisons...
Il a une bonne vision du jeu, les joueurs défensifs ont souvent fais de bons entraîneurs et je ne sais pas si un jour ça sera son nouveau métier. Mais, je suis sûr que ça sera un super entraîneur...
Il a une bonne vision du jeu, les joueurs défensifs ont souvent fais de bons entraîneurs et je ne sais pas si un jour ça sera son nouveau métier. Mais, je suis sûr que ça sera un super entraîneur...
TOP 6 de la Ligue 1 et/ou vainqueur de Coupe
José Arribas
Jean Vincent
Jean Claude Suaudeau
Raynald Denoueix
Loïc Amisse
Sergio Conceiçao
Antoine Kombouaré
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FCNAmania - Arbitre
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Re: Revue de presse
Landreau interesse Bastia, Toulouse d'après l'Equipe. C'est toujours étonnant de voir un joueur de ce niveau sans club...
"Retour aux valeurs
Retour au jeu"
Retour au jeu"
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victor - U17
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Re: Revue de presse
j'ai entendu parler d'Arsenal
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zaka - Professionnel
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- Localisation: rouen (devilles les rouen )
Re: Revue de presse
Arsenal, la destination qu'il aurait du prendre en quittant Nantes.
Bastia = son premier match officiel avec le FC Nantes, histoire de boucler la boucle
Toulouse = Ahamada est en doute en ce moment mais bon, je ne le vois pas trop là bas (et puis j'y suis parti il y a 8 ans maintenant, d'habitude, c'est moi qui le suit, pas l'inverse)
Bastia = son premier match officiel avec le FC Nantes, histoire de boucler la boucle
Toulouse = Ahamada est en doute en ce moment mais bon, je ne le vois pas trop là bas (et puis j'y suis parti il y a 8 ans maintenant, d'habitude, c'est moi qui le suit, pas l'inverse)
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
Waldemar Kita (59 ans) a racheté le FC Nantes en août 2007 au groupe Socpresse.
Auparavant, ce Polonais, opticien de formation avait fait fortune en créant, en 1986, la société Cornéal, devenue le premier groupe français et un des leaders européens pour la conception et la fabrication de lentilles intra-oculaires. Société qu’il a vendue en 2006.
Ce début de saison vous satisfait-il ?
Oui. Mais tout reste à faire. La route est encore longue, très longue.
Pensiez-vous que cela serait aussi compliqué au moment de l'achat du club en août 2007 ?
Non vraiment pas.
Je pensais que le club était mieux organisé.
Il y avait des gens en place à l'époque. Il a fallu attendre la fin de leur contrat.
Aujourd'hui, notre approche est plus professionnelle. Nous avons travaillé en profondeur. On récolte les fruits du travail accompli depuis cinq ans. Alors oui je pensais que cela irait beaucoup plus vite. Mais c'est la preuve que l'argent ne règle pas tout. Le foot, c'est beaucoup plus compliqué.
A l'époque, il y avait Michel Der Zakarian que vous avez limogé un an après.
( Il coupe). Non. Pas limogé. Mais j'ai pris la décision de nous séparer de lui. Je n'avais pas de problème personnel avec MDZ. En revanche, à l'époque le staff médical, le responsable du centre de formation ne lui étaient pas du tout favorables. Michel n'était pas aussi communicatif que maintenant. Si on avait pu discuter comme on le fait aujourd'hui, cela ne serait pas arrivé.
Et du coup le faire revenir cet été s'est fait naturellement ?
Il y a toujours eu du respect entre nous. De plus, il était demandeur. Je l'ai accueilli les bras ouverts. N'oubliez pas non plus que je l'ai acheté ( NDLR : un transfert de 75.000€ pour racheter sa dernière année de contrat avec Clermont).
Un bon entraîneur, ça a un prix. Je crois savoir d'ailleurs qu'il va être nommé meilleur entraîneur de L2 de l'année. Et c'est mérité.
C'est la saison ou jamais pour retrouver la L1 ?
Ce n'est pas la question. Le problème c'est que Nantes n'a rien à faire en L2. Il n'est pas calibré pour rester à ce niveau.
Vous avez investi beaucoup depuis votre arrivée à la tête du club. Le chiffre de 60 millions d'euros est évoqué*.
C'est plus, beaucoup plus. Et il s'agit de mon argent personnel.
Êtes vous prêt à ouvrir le capital ?
J'ai toujours dit que j'étais disposé à le faire. Reste à savoir avec qui.
Il faut une personne qui apporte un vrai plus. Pour l'instant, ce n'est pas le cas.
Ce sera moins difficile quand on sera en L1. Si on y accède… C'est la raison pour laquelle cette montée est vitale pour la pérennité du club.
Vous avez été beaucoup critiqué et même insulté depuis votre arrivée.
Ces insultes, elles viennent toujours du même groupe d'abrutis.
Maintenant, cela me passe au-dessus de la tête. Tout le monde sait de qui il s'agit. Mais les autorités ne disent rien, ne font rien. On dirait qu'ils attendent qu'il y ait des blessés ou un mort.
Pourquoi tant de haine ?
Ces gens pensent que Nantes doit appartenir à des Nantais ou que les gens de l'association sont encore capables de gérer. Mais le foot, ce n'est plus ça. Maintenant il faut des gens comme moi qui investissent.
Quels rapports entretenez-vous avec Claude Michy votre homologue clermontois ?
Très cordiaux. Il est beaucoup plus radin que moi (rires). Mais il a sûrement raison en fin de compte. Il a mis beaucoup moins d'argent que moi et il a eu de meilleurs résultats. Il est donc plus fort que moi…
(*) Waldemar Kita a injecté 12,5 millions d'euros supplémentaires cet été.
Auparavant, ce Polonais, opticien de formation avait fait fortune en créant, en 1986, la société Cornéal, devenue le premier groupe français et un des leaders européens pour la conception et la fabrication de lentilles intra-oculaires. Société qu’il a vendue en 2006.
Ce début de saison vous satisfait-il ?
Oui. Mais tout reste à faire. La route est encore longue, très longue.
Pensiez-vous que cela serait aussi compliqué au moment de l'achat du club en août 2007 ?
Non vraiment pas.
Je pensais que le club était mieux organisé.
Il y avait des gens en place à l'époque. Il a fallu attendre la fin de leur contrat.
Aujourd'hui, notre approche est plus professionnelle. Nous avons travaillé en profondeur. On récolte les fruits du travail accompli depuis cinq ans. Alors oui je pensais que cela irait beaucoup plus vite. Mais c'est la preuve que l'argent ne règle pas tout. Le foot, c'est beaucoup plus compliqué.
A l'époque, il y avait Michel Der Zakarian que vous avez limogé un an après.
( Il coupe). Non. Pas limogé. Mais j'ai pris la décision de nous séparer de lui. Je n'avais pas de problème personnel avec MDZ. En revanche, à l'époque le staff médical, le responsable du centre de formation ne lui étaient pas du tout favorables. Michel n'était pas aussi communicatif que maintenant. Si on avait pu discuter comme on le fait aujourd'hui, cela ne serait pas arrivé.
Et du coup le faire revenir cet été s'est fait naturellement ?
Il y a toujours eu du respect entre nous. De plus, il était demandeur. Je l'ai accueilli les bras ouverts. N'oubliez pas non plus que je l'ai acheté ( NDLR : un transfert de 75.000€ pour racheter sa dernière année de contrat avec Clermont).
Un bon entraîneur, ça a un prix. Je crois savoir d'ailleurs qu'il va être nommé meilleur entraîneur de L2 de l'année. Et c'est mérité.
C'est la saison ou jamais pour retrouver la L1 ?
Ce n'est pas la question. Le problème c'est que Nantes n'a rien à faire en L2. Il n'est pas calibré pour rester à ce niveau.
Vous avez investi beaucoup depuis votre arrivée à la tête du club. Le chiffre de 60 millions d'euros est évoqué*.
C'est plus, beaucoup plus. Et il s'agit de mon argent personnel.
Êtes vous prêt à ouvrir le capital ?
J'ai toujours dit que j'étais disposé à le faire. Reste à savoir avec qui.
Il faut une personne qui apporte un vrai plus. Pour l'instant, ce n'est pas le cas.
Ce sera moins difficile quand on sera en L1. Si on y accède… C'est la raison pour laquelle cette montée est vitale pour la pérennité du club.
Vous avez été beaucoup critiqué et même insulté depuis votre arrivée.
Ces insultes, elles viennent toujours du même groupe d'abrutis.
Maintenant, cela me passe au-dessus de la tête. Tout le monde sait de qui il s'agit. Mais les autorités ne disent rien, ne font rien. On dirait qu'ils attendent qu'il y ait des blessés ou un mort.
Pourquoi tant de haine ?
Ces gens pensent que Nantes doit appartenir à des Nantais ou que les gens de l'association sont encore capables de gérer. Mais le foot, ce n'est plus ça. Maintenant il faut des gens comme moi qui investissent.
Quels rapports entretenez-vous avec Claude Michy votre homologue clermontois ?
Très cordiaux. Il est beaucoup plus radin que moi (rires). Mais il a sûrement raison en fin de compte. Il a mis beaucoup moins d'argent que moi et il a eu de meilleurs résultats. Il est donc plus fort que moi…
(*) Waldemar Kita a injecté 12,5 millions d'euros supplémentaires cet été.
Didier Cros de lamontagne.fr
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
Article intéressant sur la défense Nantaise :
Le FCN a trouvé la lumière derrière le rideau de fer
Lagarde sans Michard n'aurait pas traversé les siècles de littérature. Comme il est inconcevable d'imaginer aujourd'hui Michel Der Zakarian entamer une rencontre sans marteler à ses joueurs que le précepte numéro un du footballeur s'appelle la rigueur défensive.
Le doute n'est pas permis. L'an dernier, à pareille époque, qui occupait déjà la tête du classement des défenses ? MDZ et le Clermont Foot Auvergne avec douze buts encaissés. Avec un seul but concédé lors des sept dernières rencontres de championnat, dix seulement depuis le début de saison, le coach du FCN peut prétendre à une marque déposée.
« Notre secret, c'est la communication, dévoile son latéral et capitaine Olivier Veigneau. C'est le fait de prévenir quand tu as quelqu'un dans ton dos, ce qui peut t'éviter de faire une course inutile. »
Et pourtant, tous n'ont pas fait français première langue au sein de cette arrière-garde. « Le foot est universel, réplique Gabriel Cichero. Les gestes demeurent les mêmes. À gauche, à droite. »
Le Vénézulien avoue échanger en Anglais avec Veigneau, Djilobodji et Deaux. « En revanche, Issa (Cissokho) est catastrophique, se marre le chef de défense du FCN. Et le coach, ce n'est pas ça... »
Les Canaris y prennent goût
Quand il joue, Cichero se tient droit comme un peuplier, le style fluide, bien dans la tradition sud-américaine. « Il est important de défendre à la mort. En agissant de la sorte, tu pousses les autres à jouer comme toi. »
Le FCN est devenu difficile à bouger, encore plus quand il évolue à trois axiaux et deux latéraux coulissant sur les couloirs.
« La première fois au Havre (1-1), on avait l'impression de se dépenser inutilement, se souvient Olivier Veigneau. Au bout d'une demi-heure, on était dans le rouge. Là, on sent plus de maîtrise et du coup, on garde du jus pour contre-attaquer. Pour moi, c'est la possibilité de dézoner davantage avec la sécurité d'avoir quelqu'un derrière moi. On y prend goût. »
Le trio Madouni-Cichero-Djilobodji prouve lors de chaque sortie sa complémentarité. Michel Der Zakarian loue la lecture du jeu et la relance des deux premiers, les progrès du dernier.
« Papy (Djilobodji) a vraiment explosé cette année corrobore Olivier Veigneau. À Clermont, il a tout pris de la tête ! Pareil pour Issa (Cissokho) auquel le coach transmet sa confiance. »
Gaby Cichero va plus loin à propos du grand Sénégalais qui accompagne ses soirées : « Pour moi, c'est le meilleur défenseur de Ligue 2... juste derrière moi (rires). Il n'a déjà rien à envier à la plupart des joueurs de L1. Il est très bon techniquement, mentalement, anticipe bien et se veut excellent dans le jeu aérien. »
Quatre ou cinq, la défense vit bien, et surtout pas en autarcie. « Cette année, chacun fait l'effort pour l'autre, confirme Veigneau. On récolte les miettes en défense, sans compter que Rémy (Riou) nous sauve certaines situations. »
Le portier du FCN ne s'illustre pas seulement avec ses mains. Cichero lui trouve d'ailleurs un petit air sud-américain. « Nous avons un gardien technique sur qui on peut s'appuyer dans le jeu au pied. Il va te la rendre correctement. D'ailleurs, je tire mon chapeau à la personne qui a opéré le recrutement. Il a été fait de façon intelligente. »
Décidément, ces Sud-Américains ont l'élégance pour flatter leur entraîneur.
Le FCN a trouvé la lumière derrière le rideau de fer
Lagarde sans Michard n'aurait pas traversé les siècles de littérature. Comme il est inconcevable d'imaginer aujourd'hui Michel Der Zakarian entamer une rencontre sans marteler à ses joueurs que le précepte numéro un du footballeur s'appelle la rigueur défensive.
Le doute n'est pas permis. L'an dernier, à pareille époque, qui occupait déjà la tête du classement des défenses ? MDZ et le Clermont Foot Auvergne avec douze buts encaissés. Avec un seul but concédé lors des sept dernières rencontres de championnat, dix seulement depuis le début de saison, le coach du FCN peut prétendre à une marque déposée.
« Notre secret, c'est la communication, dévoile son latéral et capitaine Olivier Veigneau. C'est le fait de prévenir quand tu as quelqu'un dans ton dos, ce qui peut t'éviter de faire une course inutile. »
Et pourtant, tous n'ont pas fait français première langue au sein de cette arrière-garde. « Le foot est universel, réplique Gabriel Cichero. Les gestes demeurent les mêmes. À gauche, à droite. »
Le Vénézulien avoue échanger en Anglais avec Veigneau, Djilobodji et Deaux. « En revanche, Issa (Cissokho) est catastrophique, se marre le chef de défense du FCN. Et le coach, ce n'est pas ça... »
Les Canaris y prennent goût
Quand il joue, Cichero se tient droit comme un peuplier, le style fluide, bien dans la tradition sud-américaine. « Il est important de défendre à la mort. En agissant de la sorte, tu pousses les autres à jouer comme toi. »
Le FCN est devenu difficile à bouger, encore plus quand il évolue à trois axiaux et deux latéraux coulissant sur les couloirs.
« La première fois au Havre (1-1), on avait l'impression de se dépenser inutilement, se souvient Olivier Veigneau. Au bout d'une demi-heure, on était dans le rouge. Là, on sent plus de maîtrise et du coup, on garde du jus pour contre-attaquer. Pour moi, c'est la possibilité de dézoner davantage avec la sécurité d'avoir quelqu'un derrière moi. On y prend goût. »
Le trio Madouni-Cichero-Djilobodji prouve lors de chaque sortie sa complémentarité. Michel Der Zakarian loue la lecture du jeu et la relance des deux premiers, les progrès du dernier.
« Papy (Djilobodji) a vraiment explosé cette année corrobore Olivier Veigneau. À Clermont, il a tout pris de la tête ! Pareil pour Issa (Cissokho) auquel le coach transmet sa confiance. »
Gaby Cichero va plus loin à propos du grand Sénégalais qui accompagne ses soirées : « Pour moi, c'est le meilleur défenseur de Ligue 2... juste derrière moi (rires). Il n'a déjà rien à envier à la plupart des joueurs de L1. Il est très bon techniquement, mentalement, anticipe bien et se veut excellent dans le jeu aérien. »
Quatre ou cinq, la défense vit bien, et surtout pas en autarcie. « Cette année, chacun fait l'effort pour l'autre, confirme Veigneau. On récolte les miettes en défense, sans compter que Rémy (Riou) nous sauve certaines situations. »
Le portier du FCN ne s'illustre pas seulement avec ses mains. Cichero lui trouve d'ailleurs un petit air sud-américain. « Nous avons un gardien technique sur qui on peut s'appuyer dans le jeu au pied. Il va te la rendre correctement. D'ailleurs, je tire mon chapeau à la personne qui a opéré le recrutement. Il a été fait de façon intelligente. »
Décidément, ces Sud-Américains ont l'élégance pour flatter leur entraîneur.
Christophe DELACROIX pour nantesmaville
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
Alors que le FC Nantes a pris place sur le podium, le président du club, Waldemar Kita, ne s’enflamme pas, applaudit son entraîneur, se félicite du recrutement et reconnaît ses erreurs.
But! Nantes : La saison dernière, le FC Nantes, n’avait jamais réussi à grimper sur le podium, ce qu’il a su faire rapidement cette fois. Comment l’expliquez-vous ?
Waldemar KITA : Je pense que les responsables de l’équipe, aujourd’hui, sont différents, ils connaissent le club, le vestiaire.
Il y a une stabilité qui s’est installée et les résultats suivent.
La saison dernière, on manquait de cette stabilité. Les gens n’étaient pas à la hauteur.
Quels rapports entretenez-vous aujourd’hui avec les partenaires financiers locaux. Compte tenu des résultats, certains commencent-ils à revenir après avoir quitté le club ?
Il faut comprendre, quand on a des partenaires, que ceux-ci veulent des résultats, que ça se passe bien.
Quand ça ne va pas, ils font marche arrière sans vouloir revenir, c’est plutôt normal, je suis aussi chef d’entreprise et je sais ce que c’est.
Quand il n’y a pas de résultat, on n’a pas envie de suivre les gens. Maintenant, je remercie tous ces gens qui, d’une certaine façon, nous ont soutenus dans les moments difficiles et j’espère que ça va continuer, qu’ils reviendront par rapport à tout ce qui se passe aujourd’hui au club, ce renouveau à tous les niveaux.
En tout cas, j’ai compris une chose : on ne peut pas construire une chose en deux ou trois ans. Il faut au moins cinq ou six ans, peut-être même dix.
Je voulais aller très vite, je me suis peut-être trompé. J’ai voulu acheter certaines choses au lieu de laisser le temps passer.
Cela signifie que vous vous inscrivez vraiment dans la durée pour le coup ?
J’essaie de construire quelque chose. Une fois que le club deviendra autonome financièrement, je pourrai tranquillement partir.
butfootballclub
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COCOach - Président
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Re: Revue de presse
il a beau avoir fait des erreurs et bien pour une fois je
interview propre sans dérapage
il se calme le père Kita
il prône la stabilité espérons que se soit vrai et non des paroles en l'air
interview propre sans dérapage
il se calme le père Kita
il prône la stabilité espérons que se soit vrai et non des paroles en l'air
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zaka - Professionnel
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Re: Revue de presse
au fil des années qui passe je pense qu'il comprend mieux ces qu'est le FC NANTES
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romain7700 - U17
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