Il est évident qu'on prend une drôle de trajectoire à 6 journées de la fin de la saison.
En même temps, ce n'est pas une nouvelle, nouvelle.
Cela fait depuis belles lurettes qu'on sent le FC Nantes fragile. Je ne parle pas des saisons dernières, mais juste de cette année.
Disons qu'au départ de Gourcuff, la messe était déjà dite.
Aujourd'hui, si on compare avec notre dernière descente en L2, nous comptons 3 places de moins mais surtout 5 points de moins !
Alors oui, c'est dur, c'est très dur même.
Et heureusement que cette saison ne s'arrête pas en cours de route comme cela a été fait l'année passée car même si le classement reste le classement, une descente de la sorte fait toujours mal.
Je rebascule ici mes statistiques car c'est la zone la plus appropriée :
A l'approche des 10 derniers matchs de la saison alors que Nantes ne comptais que 24 points, j'avais misé sur :
PSG - FC Nantes +3FC Nantes - Lorient -2FC Nantes - OGC Nice -1Rennes - FC Nantes 0Nantes - OLStrasbourg - FC NantesBrest - FC NantesFC Nantes - BordeauxDijon - FC NantesFC Nantes - MontpellierEn rouge : défaite quasi assurée
En vert : victoire obligatoire
En bleu : match nul
En gras : les points acquis en plus ou en moins selon mon pronostic
J'estimais donc à 15 points possibles à engranger sur les 10 derniers matchs.
24 + 15 = 39 points : c'est un peu juste pour le maintien, je vous l'accorde car moi je vise la 17e place, rien d'autre ! (soit 41 points)
- A l'heure actuelle, si on ne regarde que les ratios, on devrait finir la saison avec 33 points (soit 5de plus que maintenant).
Cette estimation est en baisse perpétuelle mais plus l'échéance arrive, plus elle devient réelle.
- Si on regarde mes pronostics : on a 0 point d'avance ce qui nous laisserait à 39 points à l'issue de la saison. Ce qui serait insuffisant pour se sauver de manière naturelle voir pire, ne serait peut-être pas suffisant pour aller au barrage
Oui, j'attends une fin de saison au taquet pour Nantes avec 3 victoires et 2 nuls sur les 5 derniers matchs.
Je laisse le match filer face à Lyon et apprend on enfile le treillis